TEEN KINGS feat.Roy Orbison The Teen Kings (CD)

(Ace Records) 32 titres avec un livret de 12 pages.
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Wall to wall to wall. plages, temps doux, palmiers se balançant dans la brise de l'océan, et floral. sont les images associées à Miami et à sa ville jumelée, Miami Beach qui, en moins d'un siècle, a vu le jour à partir d'une île infestée de moustiques. marécage qui est les Everglades pour s'épanouir dans une métropole subtropicale.


,* 32 titres de rocher sauvage et porcin brut
,* 3000 + mot en profondeur sleevenote par Rob Finnis Note de Rob Finnis
,* 6000$ + valeur de 45's rockin' sur un CD
,* Plus 11 titres bonus inédits dans les années 50 et jusqu'à présent uniquement disponibles sur vinyl
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b>MiamiB>Miami. a connu son apogée dans les années 40 et 50, les avions traînant de longues banderoles. volerait au-dessus de la plage pour annoncer des repas multi-cours à 1,50 $ et à 1,50 $. les cafétérias ont fait équipe avec des gens de tous les milieux, dont beaucoup d'entre eux. retraités ou en lune de miel, Miami jouit d'une réputation douteuse en tant que ' terre des nouveaux mariés ou des personnes presque mortes '. Pendant de nombreuses années après la guerre, les Talent Scouts d'Arthur Godfrey, l'un des plus grands scouts du monde. les émissions les plus populaires de la télévision américaine, a été diffusée à partir d'un hôtel de Miami, faire connaître davantage les délices de Miami à un public national.


Unlike. des grands centres d'enregistrement tels que Memphis ou Nashville, Miami n'avait pas d'enregistrement à Miami. et n'a attiré que très peu d'artistes de l'extérieur de la ville. Malgré cela la région abritait plusieurs combos sauvages et à bascule.


Miami Rockabilly, qui met en valeur la plupart des talents locaux du rockabilly et du rock'n'roll. active dans la région entre 1956 et 1960, a été longtemps dans la région de l'Est de l'Amérique latine et des Caraïbes. de faire. Ted Carroll a traqué une partie du matériel il y a plusieurs années. et a conclu un accord pour les chansons restantes autour d'une table de cuisine à l'intérieur de la maison. dans les bois du sud de la Floride. Rob Finnis a donné un sens à tout cela et. a fait des recherches approfondies sur les manches. Le résultat est un bon rapport qualité-prix. 32-tracker bourré de pierres précieuses ultra-rare rockabilly gems dont la plupart sont les suivantes qui font leurs débuts sur CD ici, remasterisés à partir de bandes originales ou d'acétates. par Sound Mastering's Ace boffins (jeu de mots prévu). Si l'un ou deux d'entre eux les morceaux ont l'air un peu ringard, alors c'est comme ça que c'était en studio en studio. the day.

Peut-être que l'enregistrement le plus connu sur Miami Rockabilly est le suivant Tommy Spurlin's Hang Loose. Délivré à l'origine en 1956 (uniquement aux États-Unis) il est devenu très populaire au cours de la renaissance du rockabilly britannique. la fin des années 70 et une réédition opportune sur une étiquette spécialisée était une plante vivace. vendeur. Une autre chanson de Spurlin, Heart Throb a été présentée dans la fraternité. movie smash'Porky's' environ 25 ans après son enregistrement. Aussi Curley Jim Morrison et Airforce Blues, la version ultra-rare de Curley Jim Morrison au Royaume-Uni. et des obscurités comme Any Way de Wes Hardin et la frénésie de Ross Minimi. 1959 séance d'entraînement, Baby Rock. Ces deux derniers coûteraient dans la région de 1 200 $ si l'on souhaite acquérir le label AFS et Gulfstream d'origine. 45s. Et si vous aimez votre rockabilly sauvage, laineux et intransigeant. puis Ray Pate &, The Rhythm Rockets' adrenaline charged 2-sider, My My Shadow c/w Lucky Day convient. Ce ne sont là que quelques-unes des choses les plus impossibles. 45 tours difficiles à trouver sur un CD qui se qualifie sûrement comme l'un des meilleurs. rockabilly issues of 1998. (Crawford Anderson)

Roy Orbison had a string of nine American Top Ten hits and even more in Britain between 1960 and 1966. In a period when most successful pop music was decidedly lightweight, his records were sensitive, sombre and overpoweringly emo-tional. Born in Vernon, Texas on April 23, 1936, Roy Kel-ton Orbison began as a rockabilly singer with the Wink Westerners and then the Teen Kings, who included Johnny `Peanuts' Wilson on rhythm guitar. His first records were cut at Norman Petty's studio in Clovis, New Mexico, and re-leased on Jewel. In 1956, Orbison recorded for Sun and `Ooby Dooby' reached No. 59 in the national charts. Further Sun Singles — hard rockers, unsuited to Orbison' voice — were unsuccessful. In 1958, Orbison's song 'Clau dette' was recorded by the Everly Brothers and he moved to Nashville to concentrate on songwriting.

One single for RCA followed, then Orbison signed with Fred Foster's Monument label. His second release on the label was 'Only The Lonely' which went to No. 2 in America and topped the British charts. It set the pattern for the string of big, mournful, almost operatic ballads which followed — 'Blue Angel', 'Runnin' Scared', 'Dream Baby', 'Crying' and 'Blue Bayou' were among them. 'In Dreams' (Top Ten in 1963 on both sides of the Atlantic) was the Orbison song par excellence, with its spoken introduction, ringing tear-jerking theme, soaring falsettos and storming crescendo. His romanticism was a legacy of his Southern upbringing. Many of his best songs reflect the emotional honesty of the best country music and tell of situations well loved by the Dixie audience Orbison was the loner, the rejected lover, the born loser. He took his initial cue, no doubt, from country singer Don Gibson but there was something magical about the qualities of his songs which transcended even the best Gibson numbers.

His voice, too, developed into something great — it contained within it something of Don Gibson's blue, lamenting quality, but it also exhibited much of the raw emotionalism of black music : it was the combination of these two qualities which created the mystique of the Big O's voice. It was tender, but the tenderness never seemed to slip into sentimentality — it was a tenderness permeated by toughness. The mystique of the Orbison voice was emphasized even more strongly at personal appearances, where his stunning lack of movement seemed oddly contradictory in the age of the Shadows and Freddy Cannon. Not only did he stand completely motion-less, but he also managed to sing his hard-hitting material (exact re-creations of the records) without appearing to move his lips any more than the average ventriloquist.

In the middle Sixties, Orbison's popularity and the quality of his material declined, although 'Too Soon To Know' (on MGM, where he moved in 1965) reached the British Top Ten. He was also dogged by domestic tragedy when his wife, Claudette, died in a motorcycle accident in 1966 and his house was destroyed by fire in 1968. His was the most dis-tinctive voice in the pop music of the early Sixties.