Ted Herold Herold, Ted Die Singles 1958-60

Le publiées ici sur CD singles des trois premières années de sa carrière montrent le héraut de jeunesse »à son meilleur niveau. Outre un certain nombre de reprises de chansons d'Elvis pour trouver Clics germanisés par `Wild One de Bobby Rydell '(1-0) et` Swinging'School (avez cinq minutes), `Hey, Little Girl` de Dee Clark et Jimmy Rodgers `«Les femmes du Libéria `` (Isabell). `` Moonlight de 1960 était à l'origine destiné uniquement comme un B-side. A été utilisé comme le titre dans le film musical «Hit Parade` 1960 utilisés, ils l'ont emmené au côté. Cette chanson a Herold, de loin son plus grand succès quand il s'est wochenlangauf n ° 1 dans les charts allemands. Titre 14 du total de cinquante chansons simples qui il a enregistré entre 1958 et 1963, a atteint les charts, y compris les trois coups ont été l'année la plus réussie des années 1960 Ted Herold en même temps frappé le top!

Ted Herold
9. September 1942 – † 20. November 2021

TED HEROLD - UNE NÉCROLOGIE

 Nous sommes bouleversés par la manière tragique dont notre ami et star du rock'n'roll Ted Herold est décédé avec son épouse Manuela samedi soir dernier dans l'incendie de leur appartement. C'est un choc profond, Ted n'avait que 79 ans et sa femme Manuela seulement 48.

Nous sommes en deuil et en même temps, la carrière de Ted se déroule comme un film devant nos yeux. Né le 9 septembre 1942 à Berlin sous le nom de Harald Walter Bernhard Schubring, il a été découvert en 1958. À l'époque, le père d'une camarade de classe l'a mis en contact avec la maison de disques Polydor. Ce sont surtout ses reprises allemandes d'Elvis Presley qui lui ont permis de connaître rapidement le succès en tant que rebelle allemand. Herold a raconté une fois que lorsqu'il a rencontré Elvis, celui-ci lui a tapé sur l'épaule et a dit qu'il appréciait que Ted chante ses chansons en allemand.

Avec des tubes comme 'Ich brauch keinen Ring', 'Ich bin ein Mann', 'Hula Rock' et 'Moonlight', il a chanté dans les annales de l'histoire du rock allemand. Dans les années 1960, Ted Herold s'est calmé et a finalement tourné le dos au monde de la musique pour faire son grand retour à la fin des années 1970 aux côtés d'Udo Lindenberg. Son premier single s'intitulait 'Jetzt bin ich wieder Zuhaus' en 1977. Dans le cadre du renouveau mondial du rockabilly dans les années 80, Ted était à nouveau en tête.

Avec des chansons comme 'Ahua' et 'Rockabilly Willy' (version allemande du hit Matchbox 'Rockabilly Rebel'), il a de nouveau pris d'assaut les hit-parades nationaux. La presse, la radio et la télévision l'ont célébré. Jusqu'en 2016, Ted Herold se produisait encore régulièrement sur scène.

L'un de ses hits s'intitule 'Wunderland'. - Repose en paix, cher Ted, dans ton pays des merveilles 

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Elvis made in Germany - roi des teds berlinois - frisson humanisé - Ted Herol le show-man le plus extraordinaire d'Allemagne - idole allemande du rock'n'roll - Mr. Hüftschwung - chanteur et star de la chanson - idole des adolescents - chanteur en uniforme - imitateur allemand de Presley - l'Elvis allemand - héraut du rock'n'roll allemand - star du rock'n'roll - spécialiste du Hüftschwung - chanteur et roi du rock allemand - millionnaire du disque.

Voilà une sélection de qualificatifs attribués à Ted Herold aussi bien dans la première phase de sa carrière, qui a duré de 1958 à 1966 - et qui, curieusement, ont été appliqués presque sans changement lorsqu'il est sorti de l'ombre pour revenir sur le devant de la scène après plus de dix ans.

"Au tout début de ma carrière, il y a eu une période où j'étais contrarié d'être appelé un imitateur d'Elvis, car je ne me voyais pas comme un imitateur. Grâce à de nombreuses discussions avec mon grand ami Max Greger, qui a accompagné mes premières tournées de manière si remarquable et grâce auquel j'ai appris à connaître le monde du spectacle plus que quiconque, j'ai rapidement compris que les surnoms devaient être utilisés. Plus tard, je me suis aussi dit qu'aucun imitateur ne pouvait rester aussi longtemps. Les gens finissent par remarquer que l'on a son propre style. Mais il était certainement logique à l'époque de me coller 'Elvis', parce que je me déplaçais et me donnais comme lui".

Et ce n'était en outre pas injustifié : la plupart des titres enregistrés par Ted Herold à ses débuts (voir la discographie) étaient des chansons de Presley. Par exemple, Ich brauch keinen Ring (enregistré le 20 août 1958), dont l'original Wear My Ring Around Your Neck figurait dans les hit-parades américains depuis le 21 avril 1958, ou Wunderbar, wie du heut' wieder küßt (7 novembre 1958), dont l'original d'Elvis I Got Stung ne figurait dans les listes des meilleurs que depuis le 3 novembre. Ces chansons, comme beaucoup d'autres, prouvent que les producteurs Bert Kaempfert (1923-1980) et Gerhard Mendelson (1913-1974) étaient très attentifs à ce qui se passait.

"Quand j'ai recommencé, à la fin des années 70, et que ce prédicat 'Elvis' est apparu, on m'a comparé au 'plus grand' de cette profession, c'était en fait flatteur".

Or, dans le monde du show-business, tout comme les prédicats de noblesse dans le jazz (comte, duc, comte), les marques de fabrique de ce genre sont généralement imposées aux interprètes par les managers de disques ou de concerts. Mais dans le cas de Ted Herold, c'est la presse, actuellement très en colère, qui a accueilli presque exclusivement avec aversion les sons d'Elvis & Co. qui s'engouffraient dans le monde de la chanson allemande, comme un tourbillon, et qui a utilisé de tels titres principalement dans un sens péjoratif.

Ce que l'on oublie facilement : Il n'y a pas qu'en Allemagne que l'on imite le chanteur de Memphis, Tennessee. En France, c'est Johnny Hallyday (né en 1943), en Angleterre Tommy Steele (né en 1936) - plus tard Cliff Richard (né en 1940) - qui ont été considérés à tort comme des originaux.

La carrière de showman avait commencé en 1958 pour Harald Walter Bernhard Schubring, né le 9 septembre 1942 à Berlin. Fils d'un maître stucateur, il s'installe avec sa famille en 1951 à Bad Homburg, dans le Land de Hesse. Harald a obtenu son diplôme de fin d'études secondaires (Mittlere Reife) - dont le niveau de difficulté de l'époque est souvent comparé à celui du baccalauréat d'aujourd'hui - en avril 1959, c'est-à-dire alors que la célébrité se développait déjà à grande vitesse (note musicale : Bien).

The show career began in 1958 for 

Harald Walter Bernhard Schubring, born in Berlin on September 9, 1942. He was the son of a master plasterer who moved with his family to Bad Homburg in Hesse in 1951. The Mittlere Reife - whose degree of difficulty at that time is often compared with today's Abitur - was completed by Harald in April 1959, thus already in rapidly developing fame (musical note: Gut).

Elvis Presley, the 1935-born US star, had also driven teenagers crazy in Germany. Since September 1, 1956, his records have appeared on the German single charts (with Heartbreak Hotel at the start) and immediately imitated him: The Austrian Peter Kraus - then 17 years old - was one of the first. He recorded Tutti Frutti with German text on December 2, 1956, a Little Richard piece, with which Elvis had success in Germany only from February of the following year; and the Presley hit Don't Be Cruel (since 1956 a bestseller) became O, as well with Kraus on January 8, 1957. Producer was said Gerhard Mendelson, director of Polydor-Produktion Süd in Vienna, which should be of considerable importance for Ted Herold, because from his second record on the bat boss from Vienna took him under his wing, above all in order to be able to keep the competitor for'his' Peter Kraus - to say the least - under control.

Two years in advance Peter Kraus - who only reluctantly accepted the taste of Elvis (see Bear Family BCD 15871 JK) - was ahead of Ted Herold. However, he now got fully involved, as the idol from the USA (then 23 years young) had been the direct impulse for the 14-year-old Harald to indulge in guitar and singing.

"In an American cinema in Frankfurt at the end of November I saw twice the film'Love Me Tender' with the funfair scene in which Elvis jumps onto the stage with his guitar and sings'Let Me' and'Poor Boy'. So I went straight to my mother's and found out about the

 Auszug aus dem Buch BCD15870 - Ted Herold Das waren die wilden Jahre... (7-CD)
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